avoine (nom féminin)

Correction, coup
Occurrences dans Kaamelott
SaisonÉpisodePersonnageRépliqueEn contexte
Pilotes 2003 La Romance de Perceval Guenièvre Si je la retrouve en train de se prélasser, je te lui file une avoine... Voir
Livre II Le Pédagogue Léodagan J'ai tout essayé, avec ce gosse. Pas de bouffe, pas de flotte, les avoines... pas moyen. Voir
Livre II Le Pédagogue Léodagan Non s'il vous plaît, fermez-la ou vous prenez une avoine. Voir
Livre V Le Royaume Sans Tête Léodagan Vous voulez que j'aille y mettre une avoine ? Voir
Livre V Le Royaume Sans Tête Léodagan Paf ! Premier jour, première avoine ! Je colle deux types dans une tour, et hop, ils me dégringolent un gars à coups de flèche dans la tronche ! C'est pas de l'efficacité, ça ? Voir
Livre VI Centurio Glaucia Hier soir, j'ai pris une avoine. Voir
Livre VI Dies Irae Arthur En ce moment je m'endors tout le temps. Je peux rien y faire. Et je fais des rêves. Je vais vous en raconter un. Je suis dans l'espace... avec un vieux. Je vous raconte pas ça au hasard, hein... quand je me suis réveillé, j'ai tout de suite pensé à vous. L'espace. Ça a toujours été votre truc, ça, l'espace. Et les vieux... y en a toujours, dans vos histoires, à vous. Bref, je flotte dans l'espace... avec les étoiles, tout... et y a un vieux à côté. Alors je sais pas si c'est moi vieux, ou euh... parce que les rêves, c'est toujours le bordel, pour ça... et le vieux me fait : « Vous êtes prêt à voir le Graal ? » Ben moi je réponds « oui ». Alors on se dirige vers une... une grande boule... mais en fait, c'est notre terre à nous. Sauf qu'au lieu d'être bien plate, hé bah... elle est... elle est en boule, quoi. Bah comme je disais, les rêves c'est toujours le bordel. On descend, on descend... on atterrit sur un sentier, dans une forêt... sur le territoire du seigneur Dagonet. Alors me demandez pas pourquoi... d'autant qu'il est même pas dans le rêve, ce con-là, mais... je sais pas comment vous dire, je sais qu'on est chez Dagonet. Le vieux se retourne, il me fait : « J'espère que vous avez pas peur de la marche ! Parce que je vous préviens, c'est pas la porte à côté. » Ben moi je lui réponds : « Je comprends pas, pourquoi est-ce qu'on n'a pas atterri directement plus près, alors ? » Il me répond pas, il part devant. Je le suis... je le suis, je le suis, et puis au bout d'un moment, je me dis « Merde... c'est le chemin de Kaamelott, ici ! » « Oh ! », que j'y fais, au vieux... « C'est pas le chemin de Kaamelott, ça ? » « Si, pourquoi ? » « Comment, 'pourquoi' ? », je lui fais. « Le Graal, il est pas à Kaamelott, quand même ! » « Si. », il me fait. Alors je m'arrête... « Vous vous foutez de moi ? » Il se retourne, il me dit : « Vous voulez le voir, le Graal, ou vous voulez pas le voir ? Bon, bah alors bouclez-la et suivez ! » Et il repart. Bon. On arrive à Kaamelott... la baraque vide. Pas un garde à l'entrée, pas un loufiat dans les couloirs, on passe devant la salle de la Table ronde, pas de Table ronde, la pièce vide... on continue, on continue... et on arrive devant la porte de ma salle de bain. « Voilà ! Ouvrez, c'est là-derrière. » Je lui fais : « Là-derrière, où ça, dans la salle de bain ? » « Ouais, dans la salle de bain. » Alors je le regarde, j'essaie de voir s'il est pas beurré, ou quoi... et puis je rentre... là y a la baignoire, vide... enfin « vide », euh... y a de l'eau, mais... y a personne dedans... et du sang, partout. Partout, partout, partout. Il me fait : « Voilà ! C'est le Graal ! » « Quoi qui est le Graal, la salle de bain ? » « Non, pas la salle de bain, la baignoire ! » « La baignoire, c'est le Graal ? » « Ouais, c'est le récipient qui a reçu le sang du Christ. » Alors là dans le rêve, je lui mets une tarte, au vieux. Mais la bonne tartine hein, attention, avec la tête qui part de côté, les cheveux de travers, et tout. « Tu te paies ma gueule ? », que je lui fais. Et pis là mon vieux, c'est lui qui se retourne, qui revient, qui me fout une avoine... j'ai l'impression que le plafond me tombe sur la gueule... je me ressaisis... et il me dit : « Qu'est-ce que c'est que quelqu'un qui souffre, et qui fait couler son sang par terre pour que tout le monde soit coupable ? Tous les suicidés sont le Christ. Toutes les baignoires sont le Graal. Et vous savez qu'on s'est toujours demandé si y avait pas une inscription gravée au fond du Graal... hé bah oui, y en a une. Allez voir. », qu'il me fait. Alors j'y vais... et au fond de la baignoire, y a marqué : « Vous m'avez bien cassé les couilles. » Et boum, je me réveille. Voir